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Fondé en 2008 à Metz par le prospectiviste français Yannick Monget, le groupe Symbiom vit initialement le jour parallèlement à l’apparition de menaces de plus en plus évidentes liées à l’impact des activités humaines sur les écosystèmes terrestres et sur nos civilisations elles-mêmes.
Originellement, Symbiom développa son activité au travers de l'expertise en prospective grâce aux technologies d'infographie numérique. Cette approche visuelle, adaptée à la science et portée aujourd'hui par notre structure SYMBIOM ARTS & SCIENCES.
Cette approche permet avant tout de mieux faire comprendre les enjeux du siècle, menaces comme espoirs, par le biais de l'imagerie photo-réaliste. Ce travail de simulation, réalisé en coordination avec de nombreux experts avec qui nous collaborons est aujourd'hui régulièrement utilisé par les médias du monde entier, les institutions, les collectivités, ou encore le monde de l'éducation dans le but de permettre au plus grand nombre de mieux appréhender les récentes découvertes de la science.
CREATION
SYMBIOM ARTS & SCIENCES
FONDATION
COMITE SYMBIOM
Bénéficiant du soutien et de l'implication d'un grand nombre de personnalités reconnues internationalement pour leur implication dans la défense de l'environnement ou des causes telles que la promotion de la paix, Yannick Monget souhaita doter le groupe d'un prestigieux comité d'éthique : le COMITÉ SYMBIOM.
Avec l'aide et le soutien de plusieurs amis au premier rang desquels le botaniste Jean-Marie Pelt mais également de l'avocate et ancienne ministre française de l'environnement Corinne Lepage, de l'astronaute Jean-François Clervoy, de l'architecte Jacques Rougerie de l'aviateur Gérard Feldzer, ou encore de l’aérostier Bertrand Piccard, il commença à mettre en place les fondations de ce qui devint récemment une entité à part entière au sein de Symbiom. Ce groupe de réflexion, œuvre aujourd'hui pour une gouvernance éthique de notre société. Apportant un regard, une analyse et une expertise nouvelle sur les nécessaires mutations à apporter à nos systèmes et choix politiques, cette démarche s'inscrit dans le constat d'une évidente dichotomie entre d'une part, la puissance technologique acquise ces dernières décennies par l'humanité, et d'autre part la dangereuse carence éthique morale et philosophique de nos modes de gouvernance.
La gravité de la crise bioclimatique nécessitant cependant, au-delà de l'insurrection des consciences, la mise en place de solutions concrètes, Yannick Monget pensa Symbiom dès sa fondation pour développer à terme ses propres projets de recherche et de développement, en cohérence avec son analyse de la situation, et la nécessité de coupler à la sensibilisation, l'action.
Persuadé qu'un monde symbiotique entre Homo sapiens et sa planète est parfaitement possible; un monde où l'insurrection des consciences révolutionnera notre manière de penser, plaçant l'éthique à la base de notre développement, Symbiom œuvre désormais pour faire naître de la crise un nouveau monde où notre imaginaire alimentera à nouveau nos rêves et où ces rêves, et non les intérêts particuliers, dessineront enfin le monde qui sera le nôtre demain. Un scénario d'espoir devenu aujourd'hui parfaitement réalisable, conforté par les découvertes récentes et par la volonté de plus en plus partagée à travers le monde de repenser le rapport à notre planète et de prendre part à la nécessaire métamorphose sociétale, technologique et environnementale prônée, entre autres, par le philosophe Edgar Morin. Une belle « utopie » dans le sens premier du terme, c'est à dire désignant non pas ce qui est irréalisable, mais ce qui n'a pas encore été réalisé.
