

C’est avec une immense tristesse que je viens d’apprendre ce soir la disparition de Jacques Perrin. En octobre dernier, il m’avait encore envoyé un petit mot manuscrit qui trônait depuis sur mon bureau, ou il m’exprimait sa reconnaissance et son « bonheur » pour avoir pu être dans l’une de mes pages, dans « Hopes », un livre qu’il trouvait magnifique m’écrivait-il, ce qui m’avait profondément touché.
Ce soir, pour lui rendre hommage